dimanche 30 octobre 2016

Remerciements à Philippe Marlin de l’association « L’œil du sphinx » et Compte rendu de « La 50e Loi : La peur est votre pire ennemie » de Robert Greene et 50 cent, chapitre 6, Payer de sa personne : l’autorité (première partie)




 Le logo original de "L’œil du sphinx"


Grâce à Philippe Marlin de l’association « L’œil du sphinx », qui a simplement mis un lien vers mon blog dans son blog « Le bibliothécaire » le mercredi 26 octobre, les statistiques de mon blog se sont emballées : j’ai eu 365 visiteurs ce jour-là. Je connais Philippe Marlin depuis 16 ans : il a créé l’association « L’œil du sphinx » il y a 27 ans pour traiter avec rigueur et impartialité du fantastique et de l’ésotérisme. Le dernier article de son blog présente un ouvrage sur Lovecraft mais il avait parlé auparavant dans celui-ci de l’édition illustrée des œuvres d’Edgar Poe, d’un livre sur la France mystérieuse, etc.

Les éditions de l’œil du Sphinx ont, quant à elles, publié des dizaines de titres (naturellement sur le fantastique, l’ésotérisme, mais aussi sur la science-fiction, Arsène Lupin ou les extra-terrestres) ; le dernier paru est Le dictionnaire de Lupinologie par Paul Gayot et Jacques Baudou.
Bravo à Philippe et à ses collaborateurs !

Je continue mes articles sur La 50 e loi : la peur est votre pire ennemie. Robert Greene, un auteur très connu de développement personnel, a coécrit cet ouvrage La 50 e loi : la peur est votre pire ennemie avec un rappeur mondialement renommé qui se fait appeler 50 cent (son vrai nom est Curtis James Jackson III) et qui est un ancien dealeur de drogue.

Tout groupe a besoin de buts et d’objectifs à long terme pour fonctionner convenablement. Mais la nature humaine fait grand obstacle à cela. Notre pente naturelle nous conduit à nous user dans les batailles et les problèmes immédiats. Nous trouvons très difficile, voire contre nature, de nous concentrer en profondeur sur l’avenir. La prévision exige un cheminement particulier de la pensée qui s’acquiert par la pratique (à voir dans la première partie de ce texte celui de Philippe Marlin et de « L’œil du sphinx », qui, malgré certains revers sont toujours là après 27 ans).

Cela signifie projeter plusieurs années à l’avance des étapes pragmatiques et réalisables, et articuler un projet en fonction de ce but. Cela signifie prévoir des chemins différents mais convergents à choisir selon les circonstances. Cela signifie s’attacher affectivement à son idée. Ainsi quand mille distractions et interruptions (dans le cas de « L’œil du sphinx », fermeture de la boutique à Rennes- le-Château, éviction du festival de Sèvres, etc.) voudront vous détourner de votre route, vous aurez la force et la motivation pour garder le cap.

Voilà. C’est tout pour le moment. La suite au prochain numéro. Amitiés à tous.