Ironique et ambigu !
Chaque chose possède son moment
et chaque instant, à son tour, ouvre la porte à une nouvelle occasion, qu’il
faut être en mesure de voir et de ne pas manquer, tout simplement parce que d'autres
ne l'aiment pas. Parce que le bonheur est tout naturellement un acte de courage et
de responsabilité qui nous oblige à comprendre aussi que, parfois, ce qui, à
première vue, ressemble à un problème, peut aussi être une opportunité.
Albert Einstein avait l’habitude
de dire que c'est dans les difficultés que les meilleures opportunités sont cachées.
Mais nous savons aussi que n'est pas vraiment facile d’appliquer cette approche
optimiste. La peur, l'insécurité, ou même la pression de notre environnement
nous font croire que ce n’est pas encore
notre temps, que nous devrions attendre un peu plus longtemps dans notre zone
de confort « calme et sûre ».
Il ne faut jamais laisser passer
une occasion qui vous rend heureux tout simplement parce que d'autres ne l’aiment
pas ; la vie, ce sont des moments
dont il faut savoir profiter avec intuition et courage.
La façon dont nous percevons la
réalité est décisive. Certains ne se concentrent que sur les problèmes au point
de tomber dans la fosse des victimes où l'obscurité ne leur fournira jamais aucune
issue de secours. D'autres, cependant, exercent le muscle de la responsabilité
et du courage et sont en mesure de voir, même dans les problèmes, de réelles
opportunités.
La question de savoir d’où vient
cette dichotomie, quelle est la raison pour laquelle certaines personnes restent
sur la défensive et lesquelles sont en mesure de mettre la clé dans la serrure
du possible, se trouve comme toujours dans ce résidu génétique latent dans
notre cerveau : la peur.
«L'échec est une
excellente occasion de recommencer plus intelligemment. » a dit Henry Ford.
Nous devons réaliser que le
problème ne se trouve pas dans les «circonstances extérieures», mais dans nos
esprits. Essayez de voir les difficultés comme une occasion d'apprentissage et
non comme quelque chose hors de votre contrôle.
Une autre façon d'aborder les
difficultés, c’est de les arrêter comme des « îlots » où l’on reste isolé et
entouré par le brouillard de tristesse. Il faut comprendre qu'un problème n’est
rien de plus qu'un processus. Nous devons admettre que le travail sur ce
problème n’est pas la fin du monde, mais la possibilité de faire un changement,
pour commencer une nouvelle dynamique.
Il y a des moments difficiles
pour lesquels il n'y a pas de solution. Si nous ne sommes pas heureux avec notre
partenaire, par exemple, nous sommes confrontés à une difficulté qui n’a pas de
remède, mais une fin : au revoir. Nous serons ensuite confrontés à un nouveau
processus, avec un début et une fin qui, à son tour, ouvre la porte à un
nouveau cycle de vie et donc à une nouvelle chance d'être heureux.
Voilà. C’est tout pour le moment. Amitiés à tous.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire