Retraite bouddhiste à Adhisdthana du 10 au 17 juillet 2016

J'ai beaucoup ressemblé à la jeune femme sur ce tableau pendant une partie de la retraite

Les cinq dhyani-bouddhas

J’étais en retraite bouddhiste au centre d'Adhisthana en Angleterre du 10 au 17 juillet.

Le membre ordonné qui dirigeait la retraite, Mahasiddhi, est un être exceptionnel et génial, qui sait mêler constamment inspiration bouddhiste et humour (j'ai eu l'impression parfois qu'il avait mille bras comme Avalokitesvara). La plupart des participants à la retraite faisaient partie du centre bouddhiste Triratna de Paris. Malgré cela, il y a eu beaucoup de moments où je ne me suis pas senti bien.

Le thème de la retraite était les cinq dhyani-bouddhas.

J'ai parlé de ces bouddhas dans d'autres articles du blog :

1) http://jeanfrancoisgerault.blogspot.fr/2015/10/les-cinq-dhyani-bouddhas-ou-bouddhas-de.html
2) http://jeanfrancoisgerault.blogspot.fr/2015/10/les-cinq-dhyani-bouddhas-leur.html
3) http://jeanfrancoisgerault.blogspot.fr/2015/10/mantras-mudras-et-energies-des-cinq.html

Pour l’instant, j’ai retenu deux pensées de cette retraite :

1) « Notre pratique est sérieuse mais nous ne sommes pas sérieux » (c’est une phrase qu’a dite Mahasiddhi et qui le caractérise très bien mais qui aussi peut définir un certain bouddhisme).

2)  « Le bouddhisme est une révolution permanente ou une évolution permanente » (comme dans la théorie de l’extrême gauche que j’adorais dans ma jeunesse ! ). C'est ce que j'ai déduit d'une conversation avec Mahasiddhi. (Rappelez-vous, pour ne pas être scandalisé ou choqué, une partie du titre de ce blog, "bouddhisme très personnel".)

Voilà. C’est tout pour aujourd’hui. Amitiés à tous.