dimanche 30 octobre 2022

Un des plus grands astrologues français du vingtième siècle, André Barbault, avait annoncé 10 ans à l'avance l'épidémie de coronavirus.

 



L'astrologue André Barbault.


Ce texte est extrait du n° 177 (1° Trimestre 2012) de la revue "l'Astrologue".


APERCU SUR LES PANDEMIES



Depuis longtemps déjà, en marge du milieu astrologique, le sujet des pandémies a  été traité par quelques astronomes et astrophysiciens qui se sont risqués à comparer certaines perturbations de la santé publique avec les courbes de l’activité solaire, comme en témoignent divers textes de la revue « Cosmobiologie » précédant la Seconde guerre mondiale (voir « 75 ans d’astrologie »). Dans la « Revue de Pathologie » de novembre 1958, le Professeur L. C. Vincent a présenté les grandes pandémies en accompagnement d’intervention cosmo-telluriques. Ainsi qu’en 1959, 1960 et 1962, où les Professeurs Poumailloux et Mironovitch, dans le « Bulletin de l’Académie de Médecine » et dans « La Presse médicale », ont fait intervenir l’intrusion dans les phénomènes biologiques des radiations extra-terrestres de l’activité solaire.

Pour ce qui est des pandémies et en remontant le vingtième siècle, les quatre crises de 1918, 1954, 1968 et 1982 sautent aux yeux, les deux considérables ayant été la première, la fameuse « grippe espagnole » qui a fait, dit-on, 25 millions de morts, et la dernière où s’est installé le Sida, lequel est encore plus dévastateur et continue d’être meurtrier. Depuis, il y eut aussi une faible poussée grippale en 2009, tout contre le dernier indice cyclique le plus bas (2010). Il se pourrait bien que nous soyons sérieusement menacés d’une nouvelle pandémie au cap de 2020-2021, à la pointe la plus basse de l’indice cyclique de tout ce XXIe siècle, avec le quintette des lentes rassemblées sur une centaine de degrés, une conjonction Jupiter-Saturne-Pluton pouvant plus particulièrement, et même spécifiquement, se prêter au « tissu » de ce déséquilibre. Il n’en demeure pas moins que cette configuration puisse aussi transférer son noyau de dissonances au terrain des catastrophes géophysiques, sans épargner en dernier lieu la scène des affaires internationales, Nature et Société étant indistinctement touchées. (et qu'est-ce que vous pensez de la guerre en Ukraine, note de Jean-François Gérault ?).