mardi 12 juin 2018

Compte rendu du livre « Ma Gestalt-thérapie, une poubelle-vue-du-dehors-et-du-dedans » de Fritz Perls (cinquième partie).




Fritz Perls.


Je viens de lire un livre que j’ai trouvé à la fois formidablement bien écrit, original et passionnant. Je voudrais vous en faire part à travers quelques articles de ce blog. Il s’agit de « Ma Gestalt-thérapie, une poubelle-vue-du-dehors-et-du-dedans »  de Fritz Perls.
  
Cet article est la suite de celui-ci. 

Voici le résumé de l’ouvrage.

Je me sens plutôt désespéré au sujet de ce manuscrit. Je l'entrevois comme une tapisserie presque terminée, mais sans pouvoir faire apparaître le tableau intégral, la Gestalt complète. Les explications n'aident guère à la compréhension. Et je ne puis vous la donner ; vous prendrez peut-être ce que je vous offre, mais est-ce que je sais de quoi vous avez faim ?

Quand je pouvais écrire en vers, je savais que vous auriez plaisir à vous laisser porter par le courant, je savais que je vous communiquais quelque chose, une humeur, une poussée, même un peu de la danse des mots.

Je suis encore bloqué et décidé à franchir cette impasse. J'ai trop facilement tendance à renoncer et à lâcher prise. Mais me forcer à faire quelque chose contre mes penchants ne me réussit pas mieux. Par conséquent, pris entre le Scylla de la phobie, de la fuite, de l'écart, et le Charybde des corvées, de la tension et de l'effort, que faut-il faire ?

Je ne serais pas phénoménologue si je ne pouvais voir l'évidence, à savoir éprouver cette sensation d'enlisement, je ne serais pas gestaltiste si je ne pouvais pénétrer dans cette expérience de l'enlisement sans 1a certitude que, de ce chaos, quelque chose de cohérent émergera.

Voilà. C’est tout pour le moment. Amitiés à tous.


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