Compte rendu de « Derrière la Magie, la Programmation Neuro Linguistique » d’Alain Cayrol et Josiane de Saint Paul. Les limites dues à la généralisation : les quantifieurs universels.

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 Derrière la Magie, la Programmation Neuro Linguistique d’Alain Cayrol et Josiane de Saint Paul

 

Pour guérir leurs patients et leur donner une vision différente, plus riche de la réalité, Richard Bandler et John Grinder ont inventé ce qu’ils ont appelé le « méta-modèle », (modèle à côté). Ils ont répertorié les croyances appauvrissantes sur le monde de leurs patients, que ceux-ci exprimaient à travers leur langage, pour leur proposer un autre modèle plus efficace et plus heureux. 

Les appauvrissements de la conception du monde d’un individu, qui viennent en deuxième, après les 4 appauvrissements sémantiques sont les limites dues à la généralisation. J’étudierai aujourd’hui la deuxième  limite dues à cette généralisation : les quantifieurs universels.

Les quantifieurs universels sont des termes qui engendrent des généralisations et des exagérations comme : tous, tout, toujours, aucun, personne, jamais, nul, impossible, définitif, sans remède, etc. : « Personne ne m’aime. », «  Tout est si difficile. », « Rien ne changera plus ».

Le thérapeute en PNL relève ce type d’affirmations de deux manières.

1) L’une consiste à exagérer encore davantage, par exemple en insistant sur le mot.

Client : Elle ne m’écoute jamais !

Thérapeute : Tu veux dire que jamais de ta vie elle ne ta écouté en aucune circonstance ?

2) L’autre solution est d’aider la personne à trouver une exception, un contre-exemple.

Client : Elle me donne tort systématiquement.

Thérapeute : Est-ce que tu te souviens d’une fois où elle ne t’a pas donné tort ?

Voilà. C’est tout pour aujourd’hui. Je parlerai encore des limites dues à la généralisation avec les opérateurs modaux dans un prochain article. Amitiés à tous.